L’histoire d’amour se termine mal entre Archimède (Ondrej Vetchy), partisan grec réfugié en Tchécoslovaquie en 1949, et son engagement de jeunesse. « Chez vous, communistes méchants », dit-il à Karel, constructeur de l’idéal socialiste. « Et en plus, il fait froid et il pleut… » Avec de faux airs d’Yves Robert, le héros va certes un peu vite à déchirer sa carte du Parti, mais incarne bien les doutes d’une génération.
MON ONCLE ARCHIMÈDE. TÉLÉFILM / ARTE / VENDREDI 24 JUILLET / 20 H 55
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