L’Allemagne a entamé mercredi sa présidence très attendue de l’Union européenne par une mise en garde d’Angela Merkel sur le Brexit et le risque réel d’un « no deal » qui fragiliserait un peu plus une économie européenne déjà plombée par le coronavirus.
« Je continuerai à préconiser une bonne solution, mais nous, dans l’UE, devons nous préparer pour le cas où un accord ne serait pas conclu », a déclaré la chancelière devant la chambre des députés allemands, au premier jour de cette présidence sesmestrielle tournante.
Le Royaume-Uni et l’Union européenne se sont lancés lundi dans cinq semaines d’intenses tractations sur leur relation post-Brexit, avec la volonté commune d’avancer enfin pour éviter un « no deal » potentiellement désastreux en fin d’année.
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