Le géant du luxe LVMH a annoncé lundi à l’AFP une saisie « historique » de plus d’un million de flacons de parfums contrefaits en Grèce, destinés au marché local, alors que le groupe a consacré l’an dernier 43 millions d’euros à la lutte contre la copie de ses produits.
« C’est une saisie historique: d’habitude nous avons plutôt des entrepôts et des lieux de stockage, et ce qui est inédit ici, c’est que nous avons aussi le centre de production », a indiqué Laurent Marcadier, directeur de la protection des actifs et des personnes du groupe.
Il décrit « un véritable lieu de fabrication, une usine de faux parfums avec des ouvriers, des machines, des bouteilles vides, des pompes, du +packaging+, des étiquettes, tout pour monter un flacon de parfum ».
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