Après le suicide le 19 juin dernier d’une salariée sur le site de Sanofi Aventis groupe à Gentilly (Val-de-Marne), les syndicats CGT, CFDT, CFE-CGC, CFTC et FO ont dénoncé unanimement jeudi 25 juin, selon un tract que s’est procuré l’AFP, « une mise en danger des vies » du personnel par des pratiques « intolérables » de management au sein de cette filiale du groupe pharmaceutique qui emploie 3500 personnes. La femme qui a mis fin à ces jours dans les locaux de l’entreprise, venait de reprendre le travail après un « burn-out ».
L’actualité par l’Humanite.fr
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