Sites religieux vides, tentes de pèlerins abandonnées, hôtels inhabités: La Mecque, ville la plus sainte de l’islam, a perdu son animation habituelle à quelques semaines du hajj, qui sera « très limité » en raison du nouveau coronavirus, au risque de plomber l’économie saoudienne.
« J’espère que, cette année, grâce à Dieu, je serai parmi les premiers pèlerins », confie à l’AFP Marwan Abdulrahman, un Saoudien vivant à La Mecque.
Parmi les premiers, et surtout parmi les seuls: pour contenir la pandémie du nouveau coronavirus, l’Arabie saoudite a décidé de n’accepter que 1.000 fidèles vivant sur son territoire pour son pèlerinage fin juillet.
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